Amazonie, dans les pas de Raymond Maufrais

Film d’Eliott Schonfeld (52′).

Diffusion

Dimanche 9 mars 2025 – 16h55

Pays

Amazonie

L' invité

Eliott Schonfeld

Le film


En 1949, Raymond Maufrais, 23 ans, tente seul de traverser la Guyane pour atteindre les légendaires monts Tumuc-Humac. À l’époque, tout le monde tente de l’en dissuader, lui promettant l’enfer et la mort, mais rien ne le détourne de son rêve.

Pourtant, il ne reviendra jamais. Il laissera pour seul témoignage son carnet retrouvé par hasard en 1951, près du fleuve Tamouri. 

 

Ce journal de bord bouleverse le jeune Eliott Schonfeld, qui, 70 ans plus tard, décide de reprendre cette expédition jugée impossible pour parachever le rêve de Maufrais.

 

Pendant des mois, il s’enfonce seul dans la jungle, suivant les traces de l’explorateur, affrontant les mêmes dangers et partageant les mêmes émotions, au cœur d’une nature sauvage, peuplée de singes hurleurs, d’anacondas et de caïmans.

 

En se lançant dans cette expédition, Eliott ne sait pas encore qu’il s’apprête à vivre la plus grande et la plus périlleuse aventure en solitaire de sa vie.

©Eliott Schonfeld

Dans les pas de Maufrais ©Eliott Schonfeld

©Eliott Schonfeld

Dans les pas de Maufrais ©Eliott Schonfeld

©Eliott Schonfeld

Dans les pas de Maufrais ©Eliott Schonfeld

©Eliott Schonfeld

Dans les pas de Maufrais ©Eliott Schonfeld

L' invité

Eliott Schonfeld


« À 19 ans, par accident, je me suis retrouvé seul dans une forêt tropicale australienne pendant plusieurs jours. J’y ai découvert la fatigue et la faim mais surtout la nature sauvage. Depuis ce moment là, je n’ai jamais voulu la quitter et j’ai décidé, à 21 ans, de devenir explorateur.

A pied, en canoë, à cheval, en chien de traineau ou sur un radeau, je me rends, pendant de longs mois, dans les endroits les plus sauvages de la planète, en solitaire et en autonomie totale. Après l’Islande et ses glaciers, le désert de Gobi et la soif permanente, l’Alaska et ses magnifiques grizzlys, j’ai traversé la chaîne de l’Himalaya pendant 4 mois.

​Je vois l’exploration comme la volonté de mieux comprendre la nature, de renseigner sur sa destruction, mais aussi surtout de réapprendre notre place en son sein. Un monde sans exploration possible serait un monde vide. Vide de sens, vide de vie… »

​Eliott Schonfeld est le plus jeune membre de la Société des Explorateurs Français.